Le don d’organes et de tissus est, sans aucun doute, un acte de grande générosité. Un donneur sauve en moyenne la vie de huit à dix personnes, même après la mort1. Avec le consentement de la famille, on peut donner cœur, cornées, poumons, reins, foie, pancréas, peau, os, valves cardiaques, entre autres.
Toutefois, il existe des doutes quant aux implications spirituelles, pendant et après le don. La Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint explique sa vision sur ce phénomène:
La Religion de l’Amour Universel est-elle en faveur du don d’organes ? Pourquoi ?
« Et il est important que nous connaissions toutes les informations pour avoir la tranquillité spirituelle en partageant la vie avec notre prochain ».
Celui qui reçoit l’organe reste-t-il relié à l’esprit du donneur ? Existe-t-il la possibilité que l’esprit du donneur change d’avis et vienne « tourmenter » le receveur ?
« Nous recommandons aux proches de ne pas faire le don s’ils ne connaissent pas l’opinion du donneur qui part à l’autre côté de la vie. Car nous ne savons pas la réaction de cette âme sur le plan spirituel. Il est important de partager notre avis avec nos proches, pour que, lors de notre mort, ils puissent prendre la décision à notre place ».
Envoyez-nous vos questions
Ces vidéos ont été produites par l’Académie Jésus, le Christ Œcuménique, le Divin Homme d’État2 avec l’objectif d’éclaircir certaines thématiques à partir de la doctrine œcuménique de la Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint.
Avez-vous des doutes des implications spirituelles sur ce sujet ? Envoyez-nous vos questions.
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1 Source: Associação Brasileira de Transplantes de Órgãos (ABTO).
2 « L’Académie Jésus, le Christ Œcuménique, le Divin Homme d’État est composée par l’Institut d’Étude, Recherche et Vécu du Nouveau Commandement de Jésus et par l’Institut d’Étude et Recherche de la Science de l’Âme. À l’aide de la production de connaissance universelle, c'est-à-dire, divine et humaine, son objectif est de désectoriser la façon dont d’aucuns voient le Christ de Dieu et le Christianisme, c’est-à-dire, c’est à elle de démontrer l’influence et l’applicabilité des enseignements œcuméniques et éternels de l’Académicien Céleste dans tous les domaines du savoir spirituel-humain, Le présentant de façon complète, fraternelle et incontestable à l’Humanité. » Définition de Paiva Netto, lors de la fondation de l’Académie Jésus, le Christ Œcuménique, le Divin Homme d’État, le 1er février 2007.