La consommation excessive ou la dépendance à l’alcool est très nuiseble pour la santé physique, psychique et spirituelle de l’individu. D’après le Rapport de situation mondial sur l’alcool et la santé 2014 de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), « En 2012, près de 3,3 millions de décès, soit 5,9% de la totalité des décès dans le monde, étaient attribuables à la consommation d’alcool ».
Le document affirme également que la consommation de cette substance « est un facteur étiologique dans plus de 200 maladies et traumatismes. Elle est associée au risque d’apparition de problèmes de santé tels que les troubles mentaux et comportementaux, y compris la dépendance à l’égard de l’alcool, des maladies non transmissibles majeures telles que la cirrhose du foie, certains cancers et des maladies cardiovasculaires, ainsi qu’à des traumatismes résultant d’actes de violence et d’accidents de la circulation ».
L’alcoolisme, de même que tout autre vice, progresse de façon graduelle et ne choisit ni âge ni sexe. Il faut d’être toujours attentif aux signes pouvant révéler la dépendance. L’appui de la famille et des amis est indispensable pour la réhabilitation de l’individu car le traitement est assez complexe et dépend du l’état du patient. Dans tous les cas, le premier pas est la prise de conscience du problème et l'abstinence. Ce que l’on nomme la « désintoxication » peut être résidentielle ou, pour les cas plus graves, dans des maisons de santé, toujours sous surveillance médicale.
Une histoire de succès
Outre la nécessité du traitement médicamenteux, des études scientifiques prouvent les innombrables bénéfices de la religiosité pour la prévention et le traitement de maladies diagnostiquées comme graves ou incurables. L’histoire de Maria de Lourdes Cintra, de São Paulo, Brésil, nous prouve cela :
« J’ai eu des problèmes avec mon mari, il me faisait beaucoup souffrir, il me frappait… ça me minait et j’ai commencé à boire. Ensuite, il a eu un cancer, il est resté 4 ans en traitement et cela m’a rendu très nerveuse, et, je buvais de plus en plus. Ensuite, il est mort et ma fille, qui avait un problème de lupus, est morte également. À partir de là, désespérée, j’ai commencé à boire le matin, je n’attendais que l’ouverture du bar pour boire. Je prenais un verre, ensuite un autre, et encore un… Là, j’ai commencé à tout oublier, je ne m’occupais plus de la maison (…) ».
Les défis ont été augmentant et la situation a devenu critique : Maria avait été renversée par une voiture, et ne se rappelait pas comment cela s’était passé. À partir de ce moment, elle n’a plus eu de doutes : elle devait changer de vie. Son premier acte a été de faire une fervente prière à Jésus, le Médecin Céleste :
« Je me suis agenouillée, les mains jointes, et j’ai dit la prière du Notre Père. J’ai demandé : mon Dieu, si j’en ai le mérite, qu’un miracle advienne dans ma vie ! Beaucoup de gens réussissent, et ils ont réussi car ils avaient une foi vivante. Eh bien, je vais l’avoir. Je l’ai en ce moment, s’il vous plait, libérez-moi ! ».
À partir de ce moment, Maria qui connaissait déjà la Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint1, a unit le traitement et les activités de religiosité pour renforcer sa Foi, comme la réalisation de la Croisade du Nouveau Commandement de Jésus dans le Foyer. Elle a commencé hebdomadairement chez elle des études œcuméniques sur l’Évangile-Apocalypse de Jésus avec ses voisins, parents et la présence d’un prédicateur de la Religion du Troisième Millénaire.
« C’est vraiment à cause de l’accident que j’ai acquis la Foi. Je m’y suis intéressée, j’ai participé plus assidûment [aux études au Foyer]. Et, j’ai acquis plus de Foi. Mais la Foi que j’ai vraiment acquise, ce fut à l’heure de la douleur. La douleur a été très triste ».
Aujourd’hui, heureuse d’avoir vaincu le vice et connu la Religion de l’Amour Fraternel, elle affirme :
« Je ne peux que remercier ! Merci beaucoup, mon père du Ciel ! Merci beaucoup, frère Paiva ! Je suis très heureuse et émue, car je savais qu’un jour j’allais me libérer ! Mes enfants étaient très tristes, mes amis et mes parents souffraient de tout ça. Maintenant, je ne leur donne que de la joie. Ils sont très heureux, mes enfants, mes petits-fils, et principalement ma mère. Ce qui fait que je suis encore plus heureuse de les voir heureux ! »
Pour la Religion de Dieu, du Christ et du Saint Esprit, l’acte de parler avec Dieu peut être réalisé par n’importe qui et à tout moment. Son président-prédicateur, Paiva Netto, affirme :
« Il est indispensable de prier et d’être vigilant, surtout en temps de crise, quel que soit l’endroit ou le moment. La douleur n’attend pas l’occasion de frapper à la porte du cœur. Et la prière n’est pas seulement utile dans les transes dramatiques de la vie, mais elle est essentielle à l’heure où l’on cherche des solutions aux défis d’ordre philosophique, politique, économique, scientifique, religieux, artistique, sportif, etc. »
Faîtes part à la Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint de vos doutes et de vos commentaires sur ce thème ou sur d’autres. Permettez à la Spiritualité Œcuménique de faire partie de votre vie ! Et, si ce contenu vous a fait du bien, partagez-le ! Il pourra ainsi toucher le cœur de beaucoup d’autres personnes.
___________
1 Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint — également dénommée Religion du Troisième Millénaire et Religion de l’Amour Universel. Il s’agit de la Religion Œcuménique du Brésil et du monde.