Afin de démontrer comment la religiosité contribue au développement individuel et collectif des individus, découvrez certains des bénéfices pour la santé de ceux qui ont une pratique religieuse, constatés scientifiquement.
Et nous comprenons « Religion » au sens large de cette définition du président-prédicateur de la Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit, José de Paiva Netto, dans son article Religion ne rime pas avec intolérance :
« Je comprends la Religion comme étant Solidarité, Respect de la Vie, Illumination de l’Esprit, que nous sommes tous. Je ne peux la comprendre que comme quelque chose de dynamique, vivante, pragmatique, généreusement réalisatrice, qui ouvre des chemins de lumière dans les âmes, et, qui pour cette raison doit être à l’avant-garde éthique. Je ne la comprendrais pas, si elle n’agissait pas de façon sensée sur les tristes réalités qui encore tourmentent les peuples. Ceux-ci, chaque fois plus, ont besoin de Dieu, qui est l’antidote pour tous les maux moraux et spirituels, et, par conséquent, les maux sociaux, ici inclus l’immobilisme, le sectarisme et l’intolérance dégénératifs, qui obscurcissent l’Esprit des foules. (...) Et, il ne faut d’aucune façon exclure les athées de toute providence qui vienne à bénéficier le monde. ».
Et vous allez donc vous étonner de tant d’avantages. Et ce n’est pas pour rien ! Car, quand on est dans un environnement sacré, on a la possibilité incroyable de se connecter avec notre Père Céleste, le Créateur Suprême qui nous aime indistinctement. On renouvelle ainsi nos énergies et on s’endurcit pour affronter les épreuves de la vie !
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Découvrez 5 bénéfices issus de la pratique religieuse que nous avons sélectionnés pour vous :
1.Un risque de mortalité réduit
Une étude, menée par le professeur d’épidémiologie Tyler J. VanderWeele, de l’Université de Harvard, aux États-Unis, a révélé que fréquenter une église au moins une fois par semaine pendant 15 ans peut réduire la mortalité de 20% à 30%. Ces données sont le fruit d’une étude qui a comparé pendant deux décennies l’espérance de vie des adultes ayant une religion et d’autres qui n’avaient aucune pratique religieuse.
2. Des taux de dépression moindres
La même recherche a révélé que les personnes ayant une pratique religieuse ont tendance à être plus optimistes, confiantes dans l’avenir et présentent des taux de dépression moindres. Cela explique également le nombre plus faible de suicides chez les personnes qui travaillent leur spiritualité. Le professeur VanderWeele affirme également dans cette étude que la religion est « plus qu’une pratique individuelle, elle est collective et solidaire et apporte de grands résultats pour la santé ». En d’autres termes, le sentiment de fraternité est encouragé et travaillé constamment dans ces environnements de paix, de sorte que les gens prennent mieux soin d’eux-mêmes et, en même temps, ils construisent un monde meilleur pour tous, à partir de leurs actes de solidarité. \o/
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3. Les expériences religieuses fournissent une structure cognitive pour faire face à des situations traumatiques
Depuis les années 2000, la Légion de la Bonne Volonté (LBV), une organisation non gouvernementale brésilienne, propose un espace de dialogue entre les domaines les plus divers du savoir afin de discuter des thèmes fondamentaux pour le progrès de l’Humanité : le Forum Mondial Esprit et Science.
En août 2015, à Brasilia, Brésil, une nouvelle édition de l’événement a eu lieu au Parlement Mondial de la Fraternité Œcuménique, le ParlaMundi de la LBV. Dans l’une des conférences, le Dr Julio Peres, psychologue et titulaire d’un doctorat en neurosciences et comportement à l’Université de São Paulo (USP), a rapporté que selon certaines études, « la plupart du temps, la spiritualité, la religiosité, sont favorables pour surmonter les traumatismes dans le setting thérapeutique ».
Il explique que les expériences religieuses comme la prière et la méditation fournissent une structure cognitive pour faire face à des situations traumatiques.
« Dans le processus thérapeutique, quand je parle de spiritualité, je peux potentialiser les capacités des patients. Je ne vais pas endoctriner le patient, mais je vais valoriser ce répertoire qu’il apporte. (...) La spiritualité peut fournir un ordre et une compréhension d’événements douloureux, chaotiques et imprévisibles », a expliqué le Dr Peres.
Le spécialiste a également affirmé que dans la psychothérapie, il est possible de considérer les traumatismes comme des opportunités de croissance personnelle, grâce aux valeurs promues par la pratique religieuse, comme le Courage, la Sagesse et l’Amour.
4. La religiosité est meilleure pour la santé mentale que le sport chez les personnes du troisième âge
En menant une étude sur la dépression chez les adultes de plus de cinquante ans, la London School of Economics and Political Science a constaté que les personnes de cette tranche d’âge qui participent à des activités religieuses obtiennent plus de bénéfices pour leur santé mentale que celles qui pratiquent des sports, prennent part à des actions sociales ou étudient.
Cette enquête effectuée sur 9 000 Européens a montré que, parmi tant d’activités dans lesquelles ces personnes sont impliquées, celle qui offre une sensation plus durable de bonheur consiste à fréquenter des cérémonies religieuses.
Ce qui est intéressant dans cette recherche, c’est qu’elle révèle que l’appartenance à d’autres circuits sociaux, comme les organisations communautaires, offre en termes de santé mentale un bénéfice à court terme – ce qui est très bien. Cependant, dans ce cas, les symptômes dépressifs peuvent apparaître après un certain temps.
L’explication du responsable de l’étude, l’épidémiologiste Mauricio Avendano, est que les participants montrent un fort sentiment de récompense quand ils débutent dans une organisation, mais quand beaucoup d’efforts sont exigés, sans grand-chose en retour, les bénéfices disparaissent après un certain temps – ce qui ne se produit avec la religion.
C’est donc la preuve d’un fait fascinant : lorsque l’être humain exerce réellement une activité dans laquelle il est utile et perçoit immédiatement l’effet de son « effort », comme dans le cas de la religion, cela génère un sentiment compensateur à long terme.
Car les activités religieuses impliquent en grande partie de prendre soin d’autrui, et cette sensation fraternelle nous pousse à de plus en plus d’actions dans le Bien ! \o/
5. Éloigner les jeunes de l’alcoolisme et de la drogue
Une étude sur la lutte contre les addictions publiée lors d’un congrès à l’Université de Chester au Royaume-Uni a conclu qu’une enfance empreinte de religion contribue à un avenir sans comportements à risques pour la jeunesse. Ceci se doit au fait que « la religion peut être particulièrement protectrice pendant la période de transition de l’adolescence à l’âge adulte », souligne l’étude.
C’est la pratique religieuse qui fait la différence, c’est-à-dire, la participation fréquente aux cérémonies et aux actions solidaires promues par les religions. De telles attitudes sont liées au développement d’habitudes saines et, par conséquent, à une propension moindre à l’addiction.
« Une plus grande fréquentation de l’église dans ces périodes de la vie [enfance et adolescence] peut protéger le jeune contre la consommation précoce d’alcool et contre le développement de problèmes liés à l’alcoolisme », souligne l’étude.
Tout cela nous amène à conclure que les divers bénéfices issus de la fréquentation de lieux sacrés s’étendent à tous les groupes d’âge. Les valeurs que l’on y acquiert et les occasions de prendre soin d’autrui font la différence pour bien conduire sa vie. Elles incitent à un idéal qui encourage et crée une bonne disposition, afin que chacun puisse garder son esprit toujours occupé et en bonne santé. C’est cool, non ? =D
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1 Religion de Dieu, du Christ et de l’Esprit Saint — également dénommée Religion du Troisième Millénaire et Religion de l’Amour Universel. Il s’agit de la Religion Œcuménique du Brésil et du monde.